Domino

Focus Label

En 1993, Laurence Bell crée le label Domino avec une vision : celle de nourrir les artistes qui n’ont "pas d’autres choix que de faire de la musique". Depuis, Domino s’est agrandi mais l’équipe reste toujours fidèle à sa philosophie et a su établir le label comme l’un des emblèmes indés du monde. Des américains lo-fi Pavement et Elliott Smith, aux anglais plus mainstream Arctic Monkeys, en passant par les aventuriers électro Four Tet et Hot Chip, découvrez le meilleur de leur catalogue ci-dessous.

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A ne pas manquer

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    Petite Noir

    On a beau écouter en boucle le premier album du chanteur Sud Africain/Congolais Yannick Ilunga, alias Petite Noir, il nous est impossible de catégoriser sa musique. Souvent comparé aux chanteurs de Tears For Fears ou Duran Duran, il reste dans la lignée new wave des années 80. Mais avec des éléments dance, rap, rock, punk et africains - certains inventent même un nouveau genre, la "noirwave", pour le définir - "La Vie Est Belle" est surtout un album plein d’humanité. Sa voix flexible et grave, admirée par des artistes comme Mos Def et Solange, nous prépare à un voyage complexe séduisant et émotionnel.

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    LA Priest

    LA Priest, alias Sam Dust, était autrefois le chanteur du groupe dance-punk tant aimé Late Of The Pier, et l'ancien guitariste de tournée de Connan Mockasin. Dust débute sa carrière en tant que LA Priest en 2010, mais il lui faudra cinq ans pour sortir un premier album. Heureusement, l'attente en valait la peine. Après un voyage au Groenland pour étudier les phénomènes électromagnétiques de la région Ivittuut sur des sons enregistrés, Dust s’inspire de cela pour offrir sur Inji des mélodies funk et psyché plus ésotériques et pour créer des perles pop électro hallucinantes.

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    FFS

    Deux groupes pionniers de l’art-pop qui réunissent leurs forces? FFS : quelle idée de génie. On se demande même pourquoi cette réunion de Franz Ferdinand et de Sparks n’a pas eu lieu avant. De leur acronyme au sous-entendu chargé, en passant par les titres de morceaux tels que "Collaborations Never Work", FFS arrive à équilibrer humour, expérience, flegme et enthousiasme sans passer pour des artistes pompeux ou trop décalés. Leurs talents musicaux respectifs se veulent complémentaires, qu’il s’agisse du piano de music hall ou des voix emblématiques d’Alex Kapranos et des frères Mael.